Les femmes membres des réseaux des GS, participent aux entretiens avec les membres des nouveaux GS sur comment se soutenir pour lutter contre les VSBG et traumatismes. Ceci pendant 4 jours au sein de la communauté de Walungu au Sud-Kivu. Cette mission est organisée en vu d’échanger les expériences pour faciliter la structuration et le fonctionnement des nouveaux GS récemment créés.
En effet, ça fait 3 ans que la Fondation RAMA-LEVINA FORAL en sigle, travaille avec 34 GS alors qu’il y a des sollicitations de réintégration des nouveaux GS par d’autres femmes, contentes des travaux et/ou activités en commun réalisées par ces groupes, et ainsi répondre aux objectif du projet. Ce qui a fait que FORAL a initié une nouvelle identification à travers les Volontaires Communautaires et l’accompagnement des autorités locales pour répondre à ce besoin dans la communauté par la mise en place de 15 autres GS.
Ainsi, pour Jean-Paul RAMAZANI, Coordonnateur de la dite Fondation « L’activité a été organisée afin de profiter de l’expérience des anciens GS pour aider les nouveaux à se développer, pendant que Hussein DJUMAPILI est content de la présence et la mobilisation des femmes membres des nouveaux écouter les expériences des autres pour mieux faire. Les participants quant à eux sont contents et des enseignements reçus qui appellent à la solidarité pour lutter contre les difficultés au sein de leur communauté à travers SIFA, président de groupe « Bololoke » nouvellement créé.
Les femmes membres des 15 nouveaux GS s’engagent à profiter de ces échanges et expériences pour travailler ensemble, fortifier leur GS et ainsi développer leur communauté. Ceci c’est dans le cadre du projet « Groupes Solidaires : Travail et actions collectives dans le territoire de Walungu ».
35 femmes issues de familles des survivantes de VSBG, s’engagent à mettre en place un plan stratégique de suivi des activités des cellules d’informations d’ici 2025, elles sont Bénéficiaires d’un atelier organisé en date du 23 Novembre à Bunyakiri, sur les stratégies pouvant mener à la facilitation du processus de la réintégration et/ou la reconnexion prochaine des femmes survivantes vivant en dehors de leur communauté d’origine.
Au cours de l’atelier les participants ont ressorti les obstacles et les opportunités pouvant faciliter la reconnexion, la réintégration et le retour des survivantes dans leurs communautés d’origine ainsi que la proposition des activités de la cellule centrale d’information basée à Bunyakiri à travers les travaux en carrefours et leurs rôles et responsabilités.
Après l’atelier, Mme Elisabeth pense que, ces femmes qui restent en dehors de Bunyakiri constituent pour eux un problème car après leur prise en charge médicale, elles ne sont plus revenues dans leurs familles respectives y compris les femmes dont les enfants sont prises en charge par SOS et la Fondation PANZI.
Les autorités se disent disponible pour faciliter la mise en place d’un plan de suivi des activités des cellules d’information installée à Bunyakiri et bientôt une autre cellule sera installée dans les périphéries de la ville de BUKAVU (personnaliser).
Au cours des échanges les participants ressorts un plan de suivi des cellules d’information de Bunyakiri et Bukavu. Prochainement, ils pensent aussi Créer la sous cellule de BKV, qui va Assurer la liaison entre Bukavu, la base et Foral, Identifier les survivantes de VBG dans le milieu et mettre un Règlement pour la gestion des conflits en faveurs des survivantes réinsérées, Sensibiliser la communauté pour accueil, Et l’acceptation des survivantes dans la communauté et Rapportage.
Dans le souci de répondre à certains outcomes du projet « Participation de la femme à la construction de la paix et à l’examen des conditions de retours éventuels des survivants des violences dans leurs communautés d’origine dans la Province du Sud-Kivu », FONDATION RAMA-LEVINA, FORAL asbl, a organisé un atelier à Bunyakiri dans le territoire de Kalehe sur les stratégies pouvant mener à la facilitation du processus de la réintégration et/ou la reconnexion prochaine des femmes survivantes vivant en dehors de leurs communauté d’origine.
Les femmes membres des réseaux des GS, participent aux entretiens avec les membres des nouveaux GS sur comment se soutenir pour lutter contre les VSBG et traumatismes. Ceci pendant 4 jours au sein de la communauté de Walungu au Sud-Kivu. Cette mission est organisée en vu d’échanger les expériences pour faciliter la structuration et le fonctionnement des nouveaux GS récemment créés.
En effet, ça fait 3 ans que la Fondation RAMA-LEVINA FORAL en sigle, travaille avec 34 GS alors qu’il y a des sollicitations de réintégration des nouveaux GS par d’autres femmes, contentes des travaux et/ou activités en commun réalisées par ces groupes, et ainsi répondre aux objectif du projet. Ce qui a fait que FORAL a initié une nouvelle identification à travers les Volontaires Communautaires et l’accompagnement des autorités locales pour répondre à ce besoin dans la communauté par la mise en place de 15 autres GS.
Ainsi, pour Jean-Paul RAMAZANI, Coordonnateur de la dite Fondation « L’activité a été organisée afin de profiter de l’expérience des anciens GS pour aider les nouveaux à se développer, pendant que Hussein DJUMAPILI est content de la présence et la mobilisation des femmes membres des nouveaux écouter les expériences des autres pour mieux faire. Les participants quant à eux sont contents et des enseignements reçus qui appellent à la solidarité pour lutter contre les difficultés au sein de leur communauté à travers SIFA, président de groupe « Bololoke » nouvellement créé.
Les femmes membres des 15 nouveaux GS s’engagent à profiter de ces échanges et expériences pour travailler ensemble, fortifier leur GS et ainsi développer leur communauté. Ceci c’est dans le cadre du projet « Groupes Solidaires : Travail et actions collectives dans le territoire de Walungu »